Macabre personnage [Nyltih, Athéna,Harlequin,L'ombre]

Harlequin, après s'être laissé tomber au sol pour satisfaire sa curiosité sans limite, se releva. Il s'était abreuvé dans cette étrange histoire de guerre et de montagne sacrée et, même s'il ne comprenait pas tout ce qui venait d'être dit, il avait envie de bouger un peu. En quoi des êtres vivants pourraient détruire le ciel et les enfers, il n'en savait rien. En fait, c'était tout simplement impossible. Les enfers grouillaient de démons plus puissants les uns que les autres, et certains pouvaient rivaliser avec les Dieux. Les cieux, quant à eux, possédaient une formidable puissance magique. En plus de cela, l'intervention des Dieux en cas de débalancement serait rapide et efficace. Bref, le monde ne pouvait pas être détruit par de simples mortels. Le monde ne pouvait pas être détruit, tout court. Mais ça avait l'air intéressant, tout ça.

-Ce que vous dites ne fait aucun sens quant à la destruction des enfers et du ciel, mais le voyage à entreprendre me semble très intéressant. Si vous désirez mon aide, je l'offrirai avec grande joie, mais seulement à cette magnifique ange qui saurait ravir le coeur de tout homme. Ça vous apprendra, à ne pas vous présenter quand on vous le demande poliment...

Poussant un joyeux rire, Harlequin fit un tour complet, puis s'immobilisa. Il n'avait peut-être pas de pouvoir télépathique, mais il était capable de sentir ce qui se tramait. Il y avait un démon qui s'apprêtait à entrer dans ce monde, un démon qu'Harlequin n'aurait pas le choix d'arrêter lui-même pour éviter à ses serviteurs de mourir. Il aurait besoin de ses deux armes pour affronter une telle puissance, que certains autres Dieux n'auraient pas pu combattre. Mieux valait assommer Tomate Braisée avant qu'il ne parvienne à ouvrir un portail capable de supporter un tel transfert.

-Humm... Vous m'excuserez, mais un démon tente de pénétrer dans notre monde. Étant donné que j'aurais quelque peu de misère à le déjouer, je me dois d'empêcher le rituel requis pour ouvrir un portail suffisamment résistant pour permettre son passage. Je ne serai pas bien long...

D'un gracieux bond par en arrière, Harlequin sortit de la maison, en ayant pris soin de baisser la tête pour ne pas s'assommer. Ça aurait bien été son genre, dans une situation moins grave. En quelques sauts, il se retrouva au sol, puis il entama la terrible Danse de la Mort, l'art de combat mis au point par ce Dieu extravagant en personne, à côté duquel le plus raffiné des arts pâlissait de jalousie. Les bras en croix, il fit un tour sur lui-même, lentement, avant de partir comme une flèche. En fait, tout sens figuré mis à part, il bougeait à une vitesse semblable à celle d'une flèche. Quand il touchait sa cible, celle-ci revolait à plusieurs mètres. Ce n'était pas parce qu'il frappait fort, loin de là. Grâce à une complexe série de transferts de poids et à l'aide de muscles au niveau des jambes qui étaient largement plus complexes et développés que ceux des humains, Harlequin parvenait à se mouvoir à plus d'une dizaine de mètres par seconde. Peut-être une vingtaine, voire trente, ou même plus? Il n'avait pas calculé. Il savait juste qu'en touchant sa cible, il l'envoyait voler quelques mètres plus loin à l'aide de sa seule vitesse, alors ce devait être terriblement rapide. Et en ce moment, il fonçait sur Tomate Braisée de côté. Ce dernier, qui grossissait toujours dans le champ de vision d'Harlequin, aurait peut-être le temps de se tourner entièrement avant de recevoir le projectile vivant sur lui. Le Dieu de l'Art ne ferait que donner un coup de torse, mais ce serait déjà assez pour envoyer Tomate rouler au loin. À coup sûr, son incantation prendrait fin. Au moins, ça éviterait la venue d'un démon supérieur dans ce monde... Harlequin ne savait même pas de quel démon il s'agissait. Il arrivait beaucoup trop vite sur sa cible pour qu'une telle chose soit possible. Mais son geste lui éviterait d'avoir à sortir son épée et le tube creux, soit ses deux terribles armes. Parlant de l'épée, il allait probablement la baptiser Athéna, en l'honneur de cette ange. Ça lui tentait. Peut-être que le lendemain, il voudrait l'appeler Carmen, mais il n'y pensait même pas. De toute façon, donner le nom de la plus talentueuse des harlequins à une arme n'était pas son genre. Et Athéna, ça avait un petit côté guerrier qu'il aimait bien...

Le jeune invocateur vit Harlequin charger et eux a peine le temps de sourire car de toute maniere, son incantation etait terminée. Il se fit percuter de plein fouet, se qui le mit au sol assez rapidement. Le sourire moqueur ne s'effasa cependant pas du visage narcois de Dwarken. Le dieu rieur ne put cependant pas admirer la cruauté si bien jouée dans le regard du maitre magicien car un sorte de portail souvrit entre les deux. Au debut a peine plus gros qu'une pastecque, il grossit rapidement pour devenir un cercle d'environ 9 metres de circonference. Dedans, on pouvait voir des landes devastées, brulante et scintillantes de totue les nuances du rouge. Si Harlequin n'aurait pas été un dieu, il aurait sans doute fait un infarctus (HJ: j'vous jure, sa s'ecrit infarctus!) telement le rugissement de l'enorme bete qui sauta sauvagement par l'entré du portail fut terrifiant. Le gigantesque demon avait l'apparence de la roche et des flame brulant partout sur son corps. Deux grandes cornes recourbées se trouvait atours de sa tete et il tenait a la main une formidable epee de feu. Les elfes present flamberent sur place telement la chaleur qui s'echapait du monstre etait intense. Il sortit, acordant un mince regard de degout a Harlequin et se retourna vers son invocateur. Les deux se dirent des mots en une langues profondes et guturales et apres, le balrog cria puissament. Un demon superieur, sans dotue plus puissant que les dieux eux meme, venait de faire son entré dans le plan d'existance materiel. Sa risquait de ne pas etre beau.

Eh... l'ombre c'est un peu trop tes pouvoirs je croit... on dit pas d'overpowerisme ... alors que ton Balrog serait plus fort qu'un dieu... non vraiment c'est trop je croit...

Les demons superieur font ce qu'ils veulent, l'invocvateur ne peut donc pas les invoquer n'importe quand. Le seul controle qu'il peut exersser sur lui, c'est de ne pas attaquer directement le magicien. Sinon, il detruit tout sur son passage pendant un tmeps inderterminer...

Tout le monde sais sa voyon

oui..mais personne n'approuve..si même un personnage dieu doit se faire défoncer par ta super invoc..je trouve ça un peu déloyal pour nous..tu vois?

[HJ : Eh bien, selon ma présentation, Harlequin est un avatar du dieu du même nom. Et selon l'histoire dans la présentation, il a été créé à partir d'une personne morte par le feu. En d'autres mots, contre un Balrog, Harlequin revient aussi souvent qu'il le veut, et étant un Dieu, à chaque fois il fait bobo au démon, qui va finir par mourir ou s'enfuir. Bref, pour cette fois-ci, le Balrog ne tuera pas tout le monde, mais je comprends les objections, et je suis d'accord. Un invocateur capable de faire apparaître un Balrog par-ci, par-là, c'est un peu overpower. Surtout s'il s'agit de créatures capables de battre un Dieu. Bref, tout ça pour demander... Je poste ou non?]

[saias pas lol..voyons les argumentations du mec..]

un bouclier et un blarog c'est deux chsoes différente... j'aurais bien pu écrire que jMavais toucher Jareth dans mon combat mais je ne l'ai pas fait tandis que moi c'est sur je n'aurais aucune chance contre un Balrog... juste petite réponse comme ça....

A pis d'la marde sa vaut pas la peine. Checker mon super poste ok:

L'ombre disparait, caput, finit.

[arg..on l'a frustré..versons une larme ...]

EDITER ADMIN.... CETTE PAGE DOIT ÊTRE ENLEVER DE TOUTE LES SALETER DE PETIT MESSAGE JUSQU'A UN VRAI POST!

[J'ai la permission d'Arween pour les moyens utilisés contre le Balrog. Ça me permet de ne pas trop faire overpower et de me débarasser de ça en même temps]

La réaction d’Harlequin fut plutôt étrange en voyant le Balrog sortir, il se rendit compte qu’avec l’état actuel des choses, il n’avait aucune chance. Le corps dans lequel il s’était incarné supportant de justesse la chaleur infernale, il fit un bond par en avant et atterrit à quelques centimètres du démon. La conséquence fut immédiate : son corps s’embrasa à l’intérieur des vêtements qui semblaient étrangement rester intacts. Quelques secondes plus tard, ils se volatilisèrent, ainsi que le masque, laissant un amas de cendres derrière eux. C’était tout ce qui restait de ce qui avait un jour été le paysan Ogléus Baunes. C’était triste, un autre allait devoir subir le même sort. Mais le monde avait son lot de tragédies, et c’était ainsi. Il fallait juste qu’il trouve son prochain avatar dans lequel s’incarner. Il savait exactement quoi prendre. Non pas un de ces elfes qui mouraient, mais bien autre chose. Certes, il perdrait l’usage de ses pouvoirs, mais un Balrog serait un adversaire ridicule. Quelques centaines de mètres plus loin, son essence s’infiltra dans une statue géante en l’honneur d’un Dieu fictif. Depuis plus d’un millier d’années, Harlequin avait entrepris une œuvre qui comptait à présent quelques trois mille volumes, dont les pages se comptaient en milliers. C’était un ouvrage gigantesque dans lequel environ trois cent Dieux, chacun contrôlant un pays, se livraient bataille pour la suprématie, combattant auprès des humains, elfes et autres. La raison de sa longueur incroyable était que chaque soldat dans les armées des Dieux avait une histoire à lui seul, même s'il était pour mourir de la première volée de flèches. Et dans ce récit, le Dieu de la Guerre avait pris forme dans une gigantesque statue. Mais Harlequin n’était pas du genre à seulement écrire. Il avait demandé à ce que cette statue soit reproduite, évidemment, et maintenant elle trônait quelque part dans Delenia, en attendant que le visage se fasse graver. Il aurait pu aussi prendre la statue du Dieu-hydre de l’eau pour réceptacle, mais… Il avait une préférence pour la statue humanoïde du Dieu de la Guerre.

Ayant perdu l’usage de ses pouvoirs parce qu’il s’était incarné dans une entité non-consciente, Harlequin, désormais une gigantesque statue d’une dizaine de mètres de haut, se dirigea vers l’endroit où le Balrog avait incinéré son précédent corps en marchant. En fait, il aurait pu courir, mais il était dans le personnage du Dieu de la Guerre, marchant sans jamais se laisser arrêter par quoi que ce soit. Une passerelle fit les frais de cette avancée. Ce ne fut l’affaire que de quelques minutes de retourner à l’endroit où le Balrog avait commencé à tout saccager. Ce dernier put enfin contempler son adversaire, qui revenait le hanter : une statue plus grande que lui, entièrement faite de pierre, dont l’épée, qui se tenait à une main, semblait redoutable. La main gauche, soit celle qui était libre, n’était pas sans potentiel offensif non plus : c’était en fait une gravure de gant, dont les doigts étaient acérés et capables de trancher environ n’importe quoi. Le visage était lisse, les harlequins n’ayant pas encore eu le temps de le graver, et le reste du corps recouvert par une impressionnante armure aux innombrables gravures.

L’épée, elle aussi recouverte de gravures était plus longue encore que celle du Balrog, qui avait affaire à un ennemi qui lui était supérieur. Rien ne surpassait les Dieux. C’était la réflexion qu’Harlequin se faisait dans son esprit vantard. Mais à présent, c’était le temps de penser au combat. Levant son épée, Harlequin l’abattit dans un violent coup diagonal. Bien qu’elle soit faite de roche, elle pourrait aisément fracasser le bras du Balrog et possiblement le couper, surtout avec l’élan que se donnait le Dieu du théâtre. Cette fois-ci, l’agilité n’était pas son point fort. Il ne comptait que sur la force brute pour écraser son ennemi. Et d’ailleurs, tout de suite après le coup d’épée, il trancherait le bras à l’épée du Balrog de sa main griffue. En serrant assez fort, ce serait possible de trancher mêmme la peau d'apparence rocheuse du démon. Bref, son adversaire n’avait pas une chance. Et s’il osait trop abîmer la colossale statue… Il aurait affaire à une hydre de pierre à neuf têtes. Pas de chance pour lui. Dommage qu’Harlequin ne puisse pas parler sous sa forme actuelle. Il aurait bien aimé ordonner au Balrog de repartir dans son plan d’origine… Et il aurait pû rire. Déjà, ça lui manquait, de ne pouvoir exprimer son hilarité. Il allait devoir se trouver un nouveau corps, et vite.

Devant l'effort quasi divin que l'appel du Balrog lui avait demandé, Dwarken fut obligée de stoper le sort lui permetant de prendre le controle du corps de son fils. L'ombre sembla donc tomber incoscient pendant a peine une ou deux secondes et se releva lentement au bout de la troisieme. Lorsqu'il sentit la chaleur, il ne put que reculer car meme si son sang de succube l'immunisait contre la chaleur, celle-ci etait etremement intense. Il ne remarqua pas vraiment le petit de cendres grisses qui reposait tristement au sol. L'empleur du combat se deroulant devant lui l'emu un peu. Le titan de pierre attaqua en premier. L'ombre ne voulait pas vraiment voir le resultat du combat. Il ne voulait que survivre. Alors il fuya.

Les balrogs etant des demons de l'ancient monde, L'ombre n'avait en aucun cas le droit de l'attaqué ni meme de se defendre conter ses attaques. Il decida de ne pas rester dans Delenia et quitta la ville. Nul sais se que l'esprit en detresse de l'adloescent avait l'intention de faire a l'instant.

Le combat ne dura que quelques minutes, mais prit rapidement des proportions titanesques. Le départ de l'invocateur fut complètement ignoré par les deux titans qui combattèrent pendant un moment, épée frappant contre épée sans jamais parvenir à infliger de dommages majeurs à l'autre. L'issue du combat changea après trois minutes de combat à l'épée, quand Harlequin parvint finalement à se saisir du bras armé du Balrog de sa main gauche. La pression sur le bras fut tout simplement inimaginable, l'essence même du Dieu de l'Art forçant la main de la statue à se refermer sur le bras, qui fut proprement sectionné et tomba au sol. Un hurlement de rage, suivi d'un coup de poing qui décapita la statue, composèrent la réponse du démon, qui décida sagement de battre en retraite vers un bâtiment qui prit en feu. Harlequin aimant bien l'architecture de la ville, s'en trouva fort mécontent et avança, abattant son épée sur le Balrog qui la reçut au niveau de l'épaule. Contrairement à ce que le Dieu avait pensé, la peau tint bon, mais le démon tomba à genoux. Un portail s'ouvrit derrière lui, signe qu'il tentait déjà de s'enfuir. En guise de cadeau d'adieu, il chargea Harlequin, déstabilisant la statue, et en profita pour rattraper son bras et en même temps son épée, puis avança vers le portail, laissant son adversaire à sa tentative désespérée de retrouver une position stable. Cet effort fut vain, et la statue se fracassa en dizaines de morceau, laissant un Harlequin horrifié de la perte mais intrigué par l'étrange art des morceaux de roche. Utiliser une statue comme réceptacle n'étant pas très subtil, les serviteurs d'Harlequin, dont le nom était un hommage au sien, assistèrent au spectacle de la chute de la statue. Si le Balrog, qui avait à présent traversé le portail pour ne pas périr, avait eu le bras coupé, la statue, quant à elle, était une perte totale. Mais ceux qui l'avaient sculptée, c'étaient les harlequins eux-mêmes, et ils ne voyaient pas leur perte du même point de vue que leur Dieu.

Néanmoins, ils ne laissèrent rien paraître, et partirent à la recherche d'un nouveau réceptacle, sous la forme d'un elfe célibataire qui venait de sortir d'une taverne, les joues d'une adorable teinte rose indiquant qu'il n'était pas tout à fait sobre. Et ce fut alors qu'avec le consentement d'Harlequin, un acte horrible se déroula. L'homme, qui se débattait pour échapper à l'emprise des trois harlequins qui l'amenaient vers le bâtiment en feu, comprit qu'il n'avait plus aucune chance de survie seulement lorsqu'il fut poussé dans les flammes. Brûlant vif, il adressa mille prières aux Dieux. Le premier à répondre fut évidemment le Dieu du rire, du théâtre et de l'Art, qui proposa un marché que l'homme, transformé en torche vivante, accepta immédiatement. Quelques minutes plus tard, une silhouette sortit du feu. C'était Harlequin, de nouveau sous sa forme humanoïde, habillé exactement comme avant, tout content d'avoir un nouveau corps. Après maintes culbutes et pirouettes devant les yeux admiratifs de ses serviteurs, il se dit qu'il devait bien quelques excuses à Athéna pour son départ précipité. Demandant aux siens de repartir pratiquer leur pièce de théâtre et, évidemment, de reconstruire la statue, il bondit vers la maison arboricole, y rentrant sans se soucier d'être discret pour éviter d'attirer l'attention de l'autre statue, celle qui lui avait donné son inspiration pour le moyen de combattre le Balrog. Entrant de nouveau dans la maison d'un air joyeux, il s'écria joyeusement :

-Me revoilà! J'espère ne pas avoir fait trop de bruit, là-dehors, ni trop de dégats... Désolé pour mon départ précipité, c'était vraiment urgent. Alors, vous voulez que je fasse quoi, déjà?

-Je dois t'avouer Harlequin,que moi mêmes je suis perdue...

La bagarre l'avait légèrement effrayée.Elle serrait contre elle l'oreiller de plume,en regardant par la fenêtre.Le sang,sauf tout le corps de celui-ci,étallé par terre,de tout son rouge,ayant une mauvaise odeur de sang chaud..Se rendent compte qu'elle venait de le vouvoyer par mégarde,ses joues rosirent de gêne.

-Oh excusez-moi...je crois encore oublié que je suis devant un dieu..

Elle serra l'oreiller de plume un peu plus fort contre elle,s'adossant contre le mur.Elle regarda apr la fenêtre,mais à la vu du sang de Balrog elle détourna son regard..du sang...

-Ne serait-il pas possible de récapituler un peu ce que nous devons faire,et surtout,avant que cet espèce de démon relance une autre attaque..

HJ je sai spas 10 lignes..mais faut que j'y ailles..a+