Perdu dans la forêt

Elle se retourna vers Aramil pour luienvoiller une vague de seduction a laquelle nul homme aurait pu restister. Elle gegnit comme un enfant qui n'aurait pas ce qu'il veut:

-Mon dieu! Elle veut me faire du mal, detruire ma beaute divine. Tu ne la laisseras pas faire n'ai ce pas?

Bien sur, sa voix etait emplis d'un charme des plus puissant. Aramil ne pourait pas resister et elle le savait. Zakara avait raison, et alors? Qu'est ce que sa lui faisait? Apres tout, quand on etait une succube, on avait un corps de reve, le pouvoir de metre tout les hommes a ses pied et on fait ce qu'on veut! Alors, pourquoi on se sentirait mal d'etre une succube...

Balthazar observa en riant. Aramil va se faire avoir. L'élément observa la nouvelle venue d'un air perplexe, même si on ne pouvait le deviner son visage étant caché. Les sucubes, de sacrés bestioles. Comment pouvait-il nommé Zakara une semi-pure ? Après tout, chaque mortel est différent, mais ils avaient émis une importance plutôt étrange pour le sang. On se sent dans une famille qu'avec des gens de même sang, ridicule... Fier à son habitude, Balthazar n'émit aucun commentaire. À quoi cela pouvait-il servir ? Balthazar se retourna vers la forêt. En sentant les animaux par leur chaleur corporel, il pouvait les détecter, puis les emprisonner dans des bulles de feu pour les rammener à lui. Puis, l'élément tua l'animal, le cuit et le mangea.

étant quand même assez haut dans l,arbres elle regarda Aramil en haussant un sourcil,elle rajouta aussi un commentaire

-j'aurais une question pour toi ,la succube,tout comme j,en ai une pour toi aramil,mais je commence dons par ta question la succube.pourquoi si les démons les anges et presque toutes les autres races essayaient de faire disparaitre ma race,pourquoi est-ce que nous sommes toujours là???pourquoi notre race est toujours là???avouez que nous sommes plus coriace que nous en avons l'air plus que depuis des millier d'années presque toutes les créature vivantes nous estermines quand elle nous voys et quand elle peuvent...

elel regarda ensuite aramil et dépliyant ses ailes,elle vola jusqu'à une branche presqu'à la cime et elle dit avec un ton amusez

-maintenant ta question Aramil...comment comptes-tu me tuez???

Klarim-Ker ne repondit pas. Elle ne fit que sourire mechament tout en s'aprochant d'Aramil. Puissqu'elle etait dans son dos, elle ne fit que passer sa main en dessous de son bras pour la deposer sur son torse. Elle fit de meme avec l'autre main mais du cote gauche et lui murmura a l'oreille.

-Tu ne me laisseras pas mourire n'est ce pas? Tu m'aime trop pour cela...

Elle haucha un sourcit,elle été environ a une trentaine de mètres du sol,la dague ne l'aurait presque pas fait mal,si elle l'aurait atteind,car la jeune fille se mit immatérielle et la dague la traversa,lentement et retomba pour aller se perdre dans les bois,la jeune fille c'étant mis immatérielle la jeune fille traversa la branche,et ouvra ses ailes,en un battement d'aile elle se remit sur sa branche et dit d'un ton nargant avec un baillement

-dommages,une si belle dague....j,aurait une autre question pour toi,Aramil,est-ce que tu as pensé une seconde qu'elle t'utilisait???

elle souria avec un petit sourr,et imagina Klarim avec des cornes et un sourir diabolique au lèvre...elle envoya cette immage a aramil par son pouvoir de vision,ensuite elle parla a Klarim

-hé...ta toujours pas répondut a ma question

Balthazar se retena encore une fois de réagir d'un quelquonc façon. Cette histoire començait à l'embêter... les batailles de mortels était drôlement ennuyante de nos jours, il espérait un jour retrouver un homme comme il en avait déjà battu autrefois. Balthazar retomba dans ses souvenirs, il s'appelait Achille le dernier. Un de ses hommes vraiment digne qu'on se force pour les tuer... Puis, il reprit ses esprits. Voyant que tout était pareil, aussi ennuyant, il commença à reculer pour s'en aller...

-hé,s'il vous plait partez pas juste a cause de cette succubes qui fait la folle supplia-t'elle

elle ne voulait se retrouver seule...surtout que la présence d'aramil commençait a la déranger....elle jeta un regard mauvais a la succubes...Pourquoi était-elle toujours aussi méchante et joue le clou du spectacle???.de plus maintenant elle ragarda la mince tentative de l'humain pour attaquer la démone...il les connaissaient que trop mal les démons.....

Balthazar se retourna. On demandait son aide... Étrange.

- Vous demandez mon aide ? Moi je crois que vous êtes pleinement capable de vaincre ces deux-là par vous même, ne croyez-vous pas ?

Il resta, et attenda de voir sa réaction, si elle avait réellement besoin d'aide, il pourrait aisément la sortir de se facheux pétrin.

la jeune fille soupira décidément presque tout le monde comprenait tous de travers...mais si c'était la seule façons de le faire rester...

-je ne sais pas...il me semble cette succubes est bizarre non???de plus elle et son couteau semble se comporter bizarrement en tout cas plus bizarrement que d'abitude......attendez je déscend et on n'en reparle...

elle roula sur le côté et se laissa tomber,après quelque mètres de chute elle ouvra ses ailes dorées.Laissant l'air s'engouffrer légèrement dans ses ailes,elle plana doucement jusqu'en bas pour se donné le temps de réfléchir,elle s'éloigna un peu de la succubes pour éviter toute attaque

-mmm...mon nom c'est zakara et vous???

elle ne quittais pas des yeux la succube

(Euh... Zakara parle à moi, pas à la succube...)

Balthazar hocha la tête, d'un signe de salutation.

- Balthazar, le feu, enchanté mademoiselle Zakara... Alors, vous voulez variment que je vous aide ? Vous manqueriez une excellente occasion de prouver vos talents de combat, se serait dommage.

Il jeta un regard sur l'homme, qui semblait s'être calmer. Puis sur la succube, cette méprisante créature sans autres buts que le charme abusif.

-certe,mais je ne suis pas la meilleurs au combat,a vrai dire sans mes pouvoirs je ne serai rien...vous êtes vraiment le feu???

elle le regarda attentivement,elle connaissait la légende des élémentaire....mais jusqua présent elel n,avait pas encore crus,qu'un être a lui seule pourrait être l'élément...elle demanda avec une petite voix

-alors c'est vous qui avez donner le feu au hommes??

Balthazar esquissa un sourire que personne ne vit derrière son capuchon.

- Vous avez besoin d'une preuve ?

Dit-il en devenant complètement enflammer. Les flammes faisait au moins un demi mètre partout autour de lui. Il s'avança vers la succube et dégagea un gros rayon de flammes en sa direction. Elle regretterait d'être venu ici aujourd'hui.

Aramil ne savait plus avec qui il devrait être il s'éloya un peu plus.
*Déciderment les démon sont compliquer*

(HRP: GRRR Je suis pas un démon !!! /HRP)

(HRPG:Désoler/HRPG)

Balthazar observa la femme se désagréger devant ses yeux. Elle n'avait rien fait, rien essayez. Ce manque de volonté pour la survie était assez surprenant. Il essuya les cendres qui s'étaient étendu sur son manteau. Il avait de la chance, bien qu'il ne s'en ait pas rendu compte immédiatement, de ne pas voir à respirer. Il se retourna vers Zakara.

- Je suppose que vous êtes ravie maintenant. Félicitation, vous avez la paix.

Son ton ne cachait aucun sarcasme, en fait, il se foutait pas mal d'avoir encore eu à tuer. Il se retourna maintenant vers la nouvelle venue.

- Bonjour, y a-t-il quelquonc services qu'il m'ait possible de vous rendre ?

Elle avait l'air du femme inocente, pourtant son visage cachait une incroyable agressivité, il en était certain.

*Mais je ne devrais pas trop me fier aux apparences...*

La jeune femme regarda celui qui venait de lui parler avec un air perdu et enfantin. Ses yeux était couleur du sang, sa peau blanche comme neige, et les lèvre rubis. Mais quand elle ouvrit la bouche pour parler, c'était un dentition normal, aux canines normales pour celle d'une humaine, que l'on pu distonguer.

- ... Non, non... Enfin peut-être...

Si la jeune femme mentait, c'était une bien bonne actrice. La jeune femme semblait effectivement complètement perdu, et avec une mentalitée trop jeune pour le corps qu'elle occupait. Elle laissa sa phrase en suspent avant de continuer.

- Je suis perdue... Vous savez où on est?

Balthazar comment ça à marcher puis leva les bras dans les airs.

- Nous sommes dans la forêt...

Dit-il d'un air moqueur. Il rajouta tout de même :

- Mais si je peux vous reconduire où que se soit, se sera un plaisir.