Pour le plaisir de lire...

Voilà... Je cous demande juste de me donner des commentaires... bons ou mauvais...

(copyright)



CHAPITRE 1


-Aurélie, viens c’est le temps!
-Non!
-Non?
-À chaque fête de famille, c’est pareil, maman, je suis la seule jeune à venir! Tous les autres restent chez eux!
Sa mère soupire. Sa fille Aurélie a quinze ans et est en pleine crise d’adolescence, de son point de vue. Elle s’est fait allongé les cheveux jusqu’au milieu du dos et ses yeux noisettes lancent des éclairs dès qu’elle n’est pas contente. Et dire qu’il y a deux ans encore, elle était sage comme une image…
-C’est d’accord, se résigne-t-elle, mais tu ne reste pas ici toute seule!
-Maman!
-Non, trouve une idée, appelle tes amis, arranges-toi, mais tu ne reste pas ici toute seule!
C’est au tour à Aurélie de soupirer. Sa mère la croit encore à l’âge de cinq ans. Pourtant, elle est capable de se débrouiller toute seule et l’attitude de sa mère lui tape parfois sur les nerfs.
Elle se rend au téléphone et appelle Annie, sa meilleure amie. Celle-ci est en chaise roulante depuis l’âge de sept ans, après un accident d’auto. Elle a une année de moins qu’Aurélie, et donc quatorze ans. Elle a les cheveux châtains et elle aborde une coupe assez courte. Ses yeux vert pâle sont dissimulés derrières ses lunettes. Après une courte discussion, la jeune adolescente repose le téléphone et se tourne vers sa mère.
-Annie va venir avec son frère qui est responsable et a passé son cours de secouriste.
-Parfait. Alors j’y vais ma chouette, on est déjà en retard.
Sa mère l’embrasse sur le front puis part en vitesse. Son père est déjà dans l’auto et les attend. Elle entend démarrer l’automobile. Puis elle voit la voiture verte quitter le garage pour rejoindre la route, et enfin disparaître à un tournant.
À peine dix minutes plus tard, on sonne à la porte. La jeune fille va ouvrir. C’est Annie et son frère, Marc-André. Ils la saluent et entrent. Marc-André a seize ans et est assez grand. Son regard gris sombre cadre bien avec ces cheveux brun foncé.
-Tu a réussi à éviter la réunion de famille? Demande Marc-André, avec un sourire moqueur.
-De justesse… Qu’est-ce que vous faisiez, vous?
-Bah tu sais comme d’habitude! Dit-il.
-Mais oui! Réplique Annie, sur le même ton que son frère, on s’amuse à rire de sa sœur, la sœur est fâchée et se venge sur le frère en lui aplatissant les pieds avec les roues de sa chaise roulante… La routine quoi!
Aurélie se tord de rire. Ils sont toujours en trains de se casser les pieds. Ils sortent dans la cour. C’est l’été et il fait tellement chaud qu’ils n’auraient pas tenu une seconde de plus dans la maison surchauffée. Ils parlent de tout et de rien, comme à leur habitude. Aurélie est assise sur une balançoire et se balance tranquillement alors que Marc-André joue distraitement avec un ballon.
Soudain, il arrête de jouer avec son ballon et dit :
«Ah ! Oui, Mimi a eu ses bébés !»
Mimi, c’est sa chatte. Une belle chatte rousse et mince, au yeux brun. C’était sa première portée et à écouter Marc-André, tout semblait s’être passé normalement. Aurélie décide quand même de lui poser la question.
-Comment ça s’est passé ?
-Oh ! Répond-t-il, très bien. Elle a eu cinq petit chatons.
-Ils sont tellement mignons ! Ajoute Annie, Tu devrais venir les voir, un de ces jours !
-Oui, c’est sûr, dit Aurélie. Mais ma mère n’en voudra jamais un… Vous vous rendez compte? Elle a refusé que j’aie un serpent !
-Oui mais un serpent, tu n’y vas pas un peu fort ? Tu devrais commencer par quelque chose de moins…. Étrange, non ? Demande Annie.
Son frère l’approuva. Il lui proposa ensuite de d’Abord demander un cheval, et qu’après sa mère accepterait n’importe quoi. Ils rirent tous de bon cœur. En effet, la mère d’Aurélie avait horreur de tout ce qui était cheval, poney ou mulet, pour la bonne et simple raison que cette dernière s’était fait mordiller les doigts par l’un deux.
C’est à ce moment-là que tout commença. Soudain, Annie discerna quelque chose sur le sol, et en informa les deux autres. C’était une sorte de petit cercle bleuté. Il grandit en longueur et en hauteur, pour devenir un petit cyclone. Puis il devint plus grand, puis encore plus grand. Les trois adolescents étaient figés de stupeur. Soudain, la mini-tornade bleue électrique les aspira. Ils se retrouvèrent, en une fraction de seconde, dans un endroit complètement différent.

c'est pas pire..t'a du talent pour vrai!

Merci ^^ Voici le deuxième chapitre...




La vue d’Aurélie était encore floue et elle ne se souvenait de rien. Oui! Elle était dans sa cour, avec Marc-André et Annie quand une tornade les avait aspirés puis… puis elle était arrivé où, en fait? Sa vue s’ajusta. Elle était dans une clairière, avec une forêt à quelques mètres. Elle se retourna et vit des montagnes, ainsi que Marc-André et Annie, qui était à terre incapable de se relever. Son frère alla chercher sa chaise roulante qui avait revolé plus loin. Aurélie se leva et alla rejoindre Annie.
-Tu sais où l’on est? Lui demanda-t-elle.
L’autre fit non de la tête. Aurélie regarda encore autour d’elle. C’est là qu’elle se rendit compte que l’endroit où elle avait atterri n’était plus la Terre. Les troncs des arbres étaient orangés et leurs feuilles dans les teintes de bleu, mauve et rouge. Les montagnes qu’elle voyait au loin étaient beaucoup plus hautes que celles qu’elle avait l’habitude de voir. Marc-André revint avec la chaise roulante et hissa sa sœur dessus. C’est alors qu’ils virent quelqu’un approcher. Aurélie se sentait mal. Elle ne savait pas ce qu’il était arrivé mais elle commençait sérieusement à croire qu,elle aurait dû aller à cette rencontre familiale, aussi ennuyeuse soit-elle. Le « quelqu’un » en question était une femme d’une vingtaine d’année. Les trois adolescent furent tout de suite surpris par son aspect. Ses cheveux étaient noirs de jais, ses yeux, ceux d’un chat, ambrés. Mais ça ne s’arrêtait pas là. Une longue queue féline, aussi noire que ses cheveux, ondulait nonchalamment de gauche à droite. Le jeune humanoïde les regardait avec étonnement.
-Qu’est ce que vous faites ici? Les interrogea-t-elle
Les trois amis n’en savaient rien. Comme Aurélie et son frère semblaient muets, Annie prit la parole :
« On en sait rien, avoua-t-elle. On est arrivé ici après avoir été aspiré dans une sorte de… tornade…
-Ah alors vous ne venez pas d’ici. Oui, c’est évident, quand on regarde votre accoutrement… »
Ils la regardèrent. En effet, ses habits étaient très différents des leurs. Alors qu’ils portaient des jeans et des t-shirts, elle portait un pantalon de cuir souple, une chemise et un corset par-dessus celle-ci. Une épée était accroché à sa ceinture et elle portait en bandouillère un arc, un carquois remplit de flèches et un sac.
-Vous venez d’où, au juste? Demanda encore la jeune femme.
-De la Terre, dit Annie, mais où on est, ici?
-Ah, des Terriens! Ici, vous êtes sur Senur, dans le Royaume de l’Échivelle.
-Vous connaissez les Terriens? Demanda Marc-André, complètement abbassourdit.
-Oh, pas vraiment, mais il y en a qui sont déjà venus ici… Et en fait pas juste des Terriens… Des Nécolais et des Srinquais aussi.
Annie, Aurélie et Marc-André s’interrogèrent du regard. Ils n’avaient jamais entendu parler de Néco, Srinque, et encore moins de Senur… En fait, ces noms ne leur disaient rien de l’endroit où ils étaient, mais une chose était sûre, ils n’étaient plus chez Aurélie. La jeune femme les invita à venir chez elle, leur disant que l’endroit n’était pas sur pour parler. Ils acceptèrent, n’ayant rien d’autre à faire. Ils arrivèrent proches d’un village. Soudain, une jeune fille, d’une quinzaine d’année, sauta d’un arbre et s’approcha. Elle avait les yeux bleus pâles, ses pupilles allongées telle celle d’un chat, et des cheveux étaient d’un blanc immaculé, strillé de quelques mèches noires. Une longue queue, de la même couleur que ses long cheveux tombait derière elle. Elle était sublime, habillée de tissus très légers. Elle s’approche de Marc-André mais Leur guide intervint :
« N’y pense même pas! Ils ne sont pas à vendre. Tu n’en a pas assez de tous les hommes du village?
-Dommage… À, au fait, Niko est revenu. »
La jeune partie, ils continuèrent en direction du village. Quand ils arrivèrent, ils furent étonnés de voir plusieurs félins se promener dans la ville. Mais ils le furent encore plus quand il virent un homme, d’une cinquantaine d’année se métamorphoser soudainement en jaguar.
-Wow! Fit Aurélie.
-Ah, oui. Dans votre monde, il n’y a pas de race mutagène… Alors ici, dans notre monde, tous les humanoïdes sont demi humain, demi animal. Mais tous ne peuvent pas nécessairement se transformer. En fait, il existe ceux qui se transforment, les biformes, et ceux qui sont entre les humains et les animaux, les monoformes.
Ils arrivèrent devant une maison, faite de bois rond. Ils entrèrent. Un homme, à peine plus vieux que la jeune femme était assit à la table. Il écrivait dans un cahier quand il leva la tête pour les regarder. Il était grand, les cheveux dorés et les yeux brun, ses pupilles, elle aussi, allongée à la manière des chats.
-Salut, fit leur guide.
-Allo… Qui sont-ils?
-Ce sont des Terriens. Elle se tourna vers eus. Voici mon frère, Nikolaï.
-Des humains? Mais… Wow! S’exclama-t-il.

Wow tu écris bien, c'est pour quand le chapitre 3?

ahh! Nicolaï... lol joke! aille continu donc l'autre pi met-la ici! stp.... (regard intense de pitier...)

Ok ok... mais en attendant, le troisième chapitre... Hé hé... Ou on en apprend un peu plus sur mes deux personnages préférés... Je vais pas vou mettre l'ordre parce que vous comprenderiez rien à ma logique...



Nikolaï, le frère de la femme qui les avaient conduits ici, semblait très enthousiaste à l’idée que des terriens soient devant lui.
-Et puis… Les exlpe… Expla… Les choses qui font « Boum », comment ça se forme?
-Les explosions? S’étonna Marc-André. Vous n’en avez pas ici? C’est un combustible avec de la chaleur…
C’est alors que Aurélie se rendit compte qu’elle ne savait même pas comment s’appelait leur guide et que les deux Sénuriens ne savait pas leur nom. Elle chercha des yeux la femme, mais celle-ci ne semblait plus dans la pièce.
-Alors c’est ça? Mais pourquoi ça ne marche pas ici… Si je mets ce bâton… Dans ce feu…
Nikolaï plaça une branche dans un feu de cheminée. Ce qui se passa fut très étrange. La branche prit feu, mais on n’entendait aucun grésillement. Elle ne faisait que se consumer lentement, en émettant une légère note de musique.
-C’est vraiment étrange, fit Annie. Chez nous, ça grésille… Je ne sais pas… On dirait que les lois fondamentales ne sont pas les mêmes…
-Oui… Mais quel est le nom de votre sœur? demanda Aurélie.
-Ah…Ma sœur, elle s’appelle Felanee, mais on l’appelle tous Ambre… Pour la couleur de ses yeux. Vous savez, c’est vraiment très rare, des yeux de cette couleur-là… Et vous, comment vous vous appelez?
-Elle, c’est Annie, ma sœur, elle, c’est Aurélie et moi, c’est Marc-André…
Ambre était au deuxième étage. Elle était allé chercher des livres à l’étage et redescendait. Ceci étonna les trois terriens. Pas qu’elle eu des livres, ou qu’elle soit au deuxième étage, mais le fait qu’elle ne descendait pas un escalier, mais une sorte ascenseur. En fait, c’était une pierre ronde et plate, qui flottait et à laquelle était intégrée une sorte de manette pour la monter ou la descendre.
-Et comment ça marche ça? Demanda Annie.
-Oh! Fit Nikolaï. Ça, c’est très simple. Ce sont des pierres à gravité. On les appelle aussi pierres bleues. En fait, ce sont des pierres avec de l’ydricoline mêlée à leur substance, ce qui fait qu’elles échappent à la gravité…
Ambre arriva avec trois livres et les posa sur la table.Sur un premier, il était écrit « Terre ». Le deuxième avait comme nom « Srinque », et le troisième « Néco ». Ensuite, elle sorti une sorte de carte de sa poche. En fait, cela ressemblait plus à un schéma. Il y avait quatre rond, un dans chaque coin de la page. Au centre, il y avait une sorte de tourbillon. Chaque boule avait un aspect différent et était reliée au tourbillon par un trait.
-Voici Srinque, Senur, Terre et Néco. Dit Ambre en désignant tour à tour les planètes. Là, on ne c’est pas trop ce que c’est. Continua-t-elle en désignant le tourbillon. Cependant, cela relie les planètes entre-elle, et c’est par ce moyen-là que vous êtes arrivé ici. On ne sait pas pourquoi cela se produit, mais on a mis l’hypothèse que c’est quand il y a un gros choc sur une des planètes ou sur le « Relieur » ou que les personnes devaient venir…
-… Et comment on fait pour rentrer chez nous? Demanda Annie.
Nikolaï ouvrit les livre et alla vérifier dans une sorte de liste de noms.
-Ouais… C’est bien ce que je pensais. Il n’y a pas beaucoup de personnes - je dirais même qu’elles sont très rares- à avoir réussit à rentrer chez eux. Et on ne sais pas comment. En fait, ça se produit environ à tous les cent ans…Enfin, qu’ils arrivent à rentrer chez eux…
-Ah! C’est très réjouissant ça! Ironisa Aurélie.
À ce moment-là, ils entendirent du bruit à l’extérieur. Ambre sorti. On entendit des brides de disputes : « Jamais! Et puis quoi encore! J’ai pas besoin de prouver quoi que ce soit à personne!… Mauviette! … J’vais t’en faire moi! »
Ils sortirent tous. Ambre était arrivée au lieu du débat. Deux hommes se criaient l’un contre l’autre. Elle soupira.
-Bon quel est le sujet du débat, cette fois-ci?
Le premier homme, le plus grand des deux, commença à expliquer la cause de l’engueulade.
-C’est lui, il nous dit qu’il est invincible! Il veut même pas nous le prouver!
-‘Ai rien à prouver à personne! Renchérit le deuxième, un voyageur. Je suis invincible, et j’ai pas envie de me fatiguer rien que pour vous le prouver!
Ambre acquiesça lentement. Puis elle se tourna vers l’assemblée qui assistait au débat.
-Combien de temps vous me donnez pour le mettre au tapis?
-Pauvre homme, chuchota Nikolaï à l’adresse des trois jeunes. Il est mieux d’abandonner maintenant.
Les enchères commençaient déjà à fuser de toutes parts : « Cinq minute! Non, trois! Et moi je dis deux! »
-On y va pour deux minutes? Demanda Ambre. Parfait. Alors monsieur, je vous dis que je peux vous mettre au tapis en deux minutes.
L’homme devin rouge de rage et de honte. Puis, il sauta sur Ambre. Celle-ci l’évita très facilement et un petit homme dans l’assemblé parti une sorte de sablier étrange. C’était un sablier, mais dans lequel le sable ne coulait pas, mais affichait les chiffres les uns après les autres. Ensuite, Ambre le prit par le col et l’envoya négligemment valser plus loin. L’homme était furieux et essaya de lui asséner un coup de poing dans la figure. Ambre sauta par-dessus le combattant et fit une pression à la base de son coup. Le pauvre tomba à genoux. Enfin, elle regarda l’étrange sablier. Celui-ci affichait 103.
-En une minute et quarante-trois secondes…
Puis, sans plus de cérémonies, elle rentra. Les trois terriens, très étonné, et Nikolaï rentrèrent.

jlavais tu lu le 3ième?

Je crois pas... XD

wai jlai lu... je reconnais des bouts

lol tu créis bien ouais c,est bon!

Bon alors... ceci n'a aucun rapport avec les textes précédents... C'est un déconnage pur et simple, suite à une conversaton avec shardul et Larsh, qui m'ont out les deux bien faire suer... T_T' Du coup, comme ils s'amusaient à me faire chier avec tant d'harmonie... Enfin lisez... Seul le début est de moi... Ils ont vraiment écrit la majeure partie de ce déconnage, que je n'ait fait que ranener en texte...


Il est passé minuit. La lune éclaire faiblement la fenêtre d'une auberge dont toutes les lumières son éteintes, Au rez-de-chaussée, assis à une table, trois jeune gens semblent discuter... Ou plutot, deux jeunes homme assez grand semblent bien se moquer d'une jeune fille à l'air lasse, petite, naine et moche (pour ne pas dire affreusement laide). Mais pendant que les deux jeune hommes se mettent à deux pour réduite la femme à l'état folle avec complexe d'infériorité très avancée et problème de personnalitée grave, ils commence à ressentir l'un pour l'autre una affection étrange. N'y portant d'habord pas attention, ils continuent de se moquer de la jeune femme qui elle semble avoir remarqué l'affection étrange des deux homme, qui est confirmée qu Larsh regarde peu subtilement le corps de Shardul, avec une envie non dissimulée. Shardul semble s'en rendre compte, puisqu'il lace à ce moment: "Larsh, allez ouste!"
-D'accord, mon choux. On se revoit dans le lit ! S'empresse de l'épondre Larsh, un sourire malin au coin des lèvres.
À cette remarque, Shardul s'presse d'arriver dans le lit avant son nouveau compagnon.
-j'y suis déjà moi... réplique-t-il, l'air fier et carnassier.
-Ah, wouaouh ! C'est du rapide ! S'exclame l'autre compagnon, sautant dans la lit et sortant son fouet, presque instantannément immité par Shardul. À présent amés de fouets, les deux nouveaux amants s'entrefouettent en émettant des cris de jouissance qu'on peu entendre d'en bas, où la jeune fille est restée. Cette jeune fille qui commence à trouver les cris bien suspects...
- Fouette-moi, vilain ! Oh oui ! Je suis un mauvais garçon ! S'exclame Larsh.
- vilain! vilain garçon! répond Shardul, avant de redoubler la puissance de ses coups de fouets.
Ils se fouettent ainsi pendant un moment, utilisant des détails que la décence interdit ici de retranscrir... La naine finit par se lever et monte pour aller voir ce qui se passe entre les deux amants, et reste pétrifiée d'étonnement et d'incrédulité.
- tu veux te joindre à nous? Lance joyeusement Shardul à la naine, continuant de fouetter son âme soeur.
- Désolée, j'ai pas de fouet... Fait la jeune fille, reculant lègèrement à la vu d'un spectacle qu'encore une fois, la décence ne permet de décrire.
Larsh lui tend son fouet en lui criant: "J'en ai un, moi!"
- Ça va aller... fait la petite humaine, de plus en plus tarumatisée. Je vais... Rentrer chez moi...
La jeune fille s'efuis chez elle pendant que les deux tourteraux finissent pas s'edormir. Shardul, endormi les ongles bien plantés dans la peau des Larsh, pendant que ce dernier lèche affectueusement la tête de son ame soeur, à la manière des chats.

Cette nuit fut formellement une nuit céleste qu’on ne peut mieux rêver ! Je dois dire que tu manies lascivement le fouet, Shardul. Tu m’as complètement dompté. J’en suis tout encore… tangué !

J’aime bien comment tu narres les faits de cette soirée divine, Dianichounette. Je n'ai pas cessé un moindre instant de me cogner la tête contre le mur. De plus, je te trouve plutôt dure envers toi-même. ''Je suis moche, je suis affreuse, j'ai l'allure d'une anorexique boulimique asthmatique d'on la cage thoracique étrique''. Parfois, je me dis que tu intercales dans tes propos pour la simple raison de nous entendre dire l’inverse et de te surmonter dans ta propre estime.

Intuition de psychologue démoniaque.

Mwahahaha !

*disparaît dans un nuage de fumée*

XD Il faut dire que je me demande encore c'que vous avez prit pour faire des choses pareilles... C'tait vraiment trop drole... Mais là j'me demande bien comment les autres vont réagir en lisant ça...

Et j'ai le droit de dire n'importe quoi sur moi... Bah si je peux plus rire de moi, de qui je vais rire, dis moi?

o.o... 0.o... 0.0... O.o... O.0... O.O... *se retient pour pas rire...* HAHAHAHAHAHAHAAAAA!!!!! DIANE, LÀ TU TE SURPASSE!!!

- Fouette-moi, vilain ! Oh oui ! Je suis un mauvais garçon ! S'exclame Larsh.
- vilain! vilain garçon! répond Shardul, avant de redoubler la puissance de ses coups de fouets.

DAHAHAHAHAHAAAAAAAAAAAAAA TROP HOT DIDI!!!!!!!! xD xD xD

Moi j'ai hâte de voir la face de Shardul..O.O

XD je tiens à dire que ses phrases son d'eux, j'ai juste tout transphéré en texte et ajouté un bébut, moi XDDD

Je suis bleu. Par manque d'oxygène, tellement je ris XD

Citation :

de qui je vais rire, dis moi?

Bah, de moi XD Il est bien temps que tu te venges, ma chère Ambre

O.OSérieusement?Me semble...sérieux?

Oui oui, on a vraiment dit tout ça. Sérieusement.

......j'vous croit absolument pas..

[06:37:26] Larsh Narshal : Ah, wouaouh ! C'est du rapide ! *sort son fouet*
[06:37:54] Shardul/Amalya : *sort son fouet aussi*
[06:38:20] Ambre : ouch... il faudrait que l'ombre soit là pour vor ça... déjà quil trouvaient les relations linna françois légèrement ciolentes...
[06:38:36] Larsh Narshal : *s'entrefouette en émettant des cris de jouissance*
[06:38:36] Shardul/Amalya : censuré
[06:39:11] Shardul/Amalya : elle va me le sortir! je le sais!
[06:39:39] Shardul/Amalya : allez, un ptit "CRÉTIN!!" et je cesse de remuer tes complexes
[06:39:46] Larsh Narshal : Elle va sourtout te sortir par la fenêtre, je le sens.
[06:41:11] Ambre : ...
[06:41:34] Shardul/Amalya : elle veut pas T___T
[06:41:40] Larsh Narshal : Elle ne veut pas te faire plaisir, apparament.
[06:41:55] Larsh Narshal : C'est pas comme toi ! Fouette-moi !
[...]
[06:43:26] Larsh Narshal : *regarde Ambre* Tu veux bien me... me fouetter?
[06:43:32] Shardul/Amalya : *donne des coups en alternance entre lui et Larsh*
[06:43:50] Shardul/Amalya : CRÊME FOUETTÉE!!
[06:44:10] Shardul/Amalya : tu es la crème de la crème des macho, Larsh, et je te fouette
[06:44:15] Shardul/Amalya : alors t'es de la crème fouettée!
[06:44:25] Larsh Narshal : Oh oui !
[06:45:05] Larsh Narshal : Fouette-moi, vilain ! Oh oui ! Je suis un mauvais garçon !
[06:45:36] Shardul/Amalya : *le fouette en poussant des hululements de joie*
[06:45:58] Shardul/Amalya : vilain! vilain garçon!
[06:46:33] Larsh Narshal : Ooooh ouiiii ! Désolé, maaaître ! Seigneur ! Oh oui !
[06:47:20] Shardul/Amalya : vilain! VILAAAAIN! *frappe de plus en plus fort, tout en augmentant le volume des hululements de joie*
[06:47:49] Shardul/Amalya : excuse-toi plus!



Et etc...

Gang de broback mountain..

Ok ça n'a vraiment aucun rapport avec l'histoire à Ambre donc ON DEGAGE LE PASSAGE! En passant c'est vraiment super Ambre!

xD Vraiment trop hot! J'adore cette histoires de fouet et de vilains garçons... Mais ça ne peux pas battre le 'Naughty-naked-Nigh-Cat', hin Ambre? xD N'essayez pas de comprendre... Longue histoire...

Cette nuit *Oui mes éclairs de génis arrivent souvent la nuit, chez moi... Ce qui fait que je m'en rapelle plus par après...* j'ai décidé de tester ma cappacité à poêmiser... Alors je vais essayer là, tout de suite, d'en écrire un, et je ne sais même pas ce que ça va donner, puisquil n'est même pas encore écrit... Alors si vous voulez bien vous donner la peine de rire de ma yeule, cela suit:

Poême 1: Pensées déplorables

Dans mon lit, je pense à toi
Même si je sais que je ne devrais pas
Mais tu hante mes nuits,
Et t'oublier je ne puis.

Je sais ce c'est inutile,
Que tu ne reviendra jamais.
Et que mes prières futiles
Sont des paroles gaspillées en vain.

La vie on t'a volé
Mon coeur on a déchiré...

Écrit en 10 minutes, non-relu...


Poême 2: Le temps d'une danse

Elle dans sa robe satinnée,
Regarant les danseur d'un air ennuyé.
Lui dans son costume noir,
Délaissé au coin du bar.

Sans un bruit, il s'est approché
Vers la jeune femme aux cheveux dorés
Leur regard se sont croisés,
Et le temps d'une danse ils ont vaslé.

La soirée s'est terminée
Le coeur brisé, ils se sont quittés,
Mais chacuns avaient sur un bout de papier,
Sept chiffres crayonnés...

Pour rejoindre l'invité,
Qui, le temps d'une danse,
l'avait fait vasler...

Encore en 10 minutes, trop paresseuse pour le relire XD


Bon welllla... La prochaine foi, je ferai dans l'insolite...